Qu’on se le dise le nouveau guide de pesticides 2016 de EWG est sorti. Voici donc ci-dessous, les 12 14 salopards à éviter et des 12 15 sortables avec lesquels flirter en 2016.
Tout juste sortie sur le web il y a quelques jours, voici la très attendue liste des fruits et légumes frais (Dirty Dozen and Clean Fifteen) pour 2016, avec les fruits et légumes allant des plus contaminés au moins contaminés par les pesticides, que le groupe américain EWG publie.
Cliquez ici ou sur la photo pour télécharger gratuitement mon Guide de l’acheteur. Présenté en format de poche pratique (10cm X 17cm), vous pourrez le traîner dans le porte-monnaie ou encore le sac-à-main. Plus de raison de ne pas optimiser ses achats… et sa santé!
Pourquoi éviter les pesticides
Une étude effectuée par EWG Research a déterminé qu’une personne qui mange des aliments parmi les plus contaminés, absorbe en moyenne 10 sortes de pesticides différents. Versus, la liste des aliments les moins contaminés, la personne absorbe en moyenne 2 pesticides… Quand même une différence notable.
Surtout que l’on ne sait toujours pas «scientifiquement» parlant (autrement dit pas prouvé selon les normes, avec éléments de preuves irréfutables), quels sont les effets de la prise de cette synergie de pesticides, dont certains ne seront jamais éliminés par notre corps, et qui restent donc dans nos organes à perpétuité.
Laver et peler les fruits & légumes, oui mais…
Laver oui ça aide, mais pas nécessairement suffisamment pour faire une réelle différence. De plus, le fait de peler les aliments enlève plein de nutriments essentiels contenus dans la peau… Pas si simple n’est-ce pas?
Quoi faire ?
* Éviter autant que possible les aliments les plus «arrosés».
* Privilégier les moins contaminés.
* Et acheter le plus biologique que l’on peut avec le budget familial que l’on a.
Si vous avez d’autres trucs & astuces à proposer, écrivez-les ci-dessous dans la boîte de commentaires. On est tous à l’affût de solutions pratico-pratiques qui feront une DIFFÉRENCE!
Cliquez sur l’image pour télécharger le document PDF. Vous pouvez télécharger Adobe gratuitement en cliquant ici.
Il y en a peu qui poussent ici dans la colonne des bons. Sachant qu’une grosse partie de la production du maïs est ogm et résistant aux pesticides du type Round Up, je suis loin d’être rassurée. Qui finance cette liste? Du côté des moins bons, les fraises sont dans la liste 2 fois.
Hello Geneviève,
Apparemment ce serait «nous» les consommateurs-donateurs qui financeraient cette étude annuelle. Cette organisation EWG ne fonctionne qu’avec des dons et revenus sur des produits que l’on peut retrouver ici : http://www.ewg.org/
Pour le maïs, ben à chacun de voir ce avec quoi il est à l’aise. Perso, je n’en mange que très rarement, car je trouve ça indigeste de tout de manière.
Les fraises ont été rectifiées plus tôt dans la liste, je viens de changer la photo. 😉
Il est parfaitement ridicule d établir une telle liste !
Les législations nationales (différentes d’un pays à l’autre y compris au sein de l’UE, les pratiques agricoles, les zones de culture, la période et le mode de culture – plein champ …) influent terriblement sur le niveau des résidus pesticides des fruits et légumes.
Ce genre d’approche générale n’est clairement pas adaptée à ce genre d’analyse.
Hello Yanik,
De façon très évidente vous n’habitez pas en Amérique du nord. Avant de critiquer des systèmes d’informations, demandez-vous s’ils ne sont pas pertinents pour les habitants concernés. Cette liste nous est très utiles ici aux USA et Canada.
Ceci dit, je vous donne tout à fait raison en ce qui concerne les législations agricoles nationales de chaque pays.
Merci de votre passage et commentaire. 🙂
Nathalie c’est bien triste de constater que ces pesticides ne touchent pas que la France.mais dans de nombreux pays.
mon souhait: qu un gouvernement mondial puisse prendre en main ce grave problème.
car il y va de notre survie a tous.
merci pour tes recettes.
bon week end
Oh tellement vrai qu’il y va de notre survie à tous. J’ai mal à l’âme parfois quand je vois comment on traite notre planète… et tous ses habitants, nous compris.
Mais je garde espoir. Nous pouvons changer le monde, une bouchée à la fois.
Merci de ton passage et commentaire.
Exactement, c’est à nous, les consommateurs, de refuser d’acheter non bio.
Hélas, certains trichent (la FDA la première), d’autres encouragent la propagande contre le bio et on manque d’inspecteurs intègres, mais notre pouvoir est l’achat. Il faut se renseigner au mieux, et s’en servir.