
Dernier volet du «dossier» dépression saisonnière, version naturopathique, voici comment faire la différence entre dépression saisonnière et dépression tout court*.
Cliquez sur les liens suivants pour lire le premier article «Le «blues» de l’hiver ou la dépression saisonnière» et le deuxième de la série «Trucs et conseils pour traverser au mieux l’hiver sans dépression saisonnière».
Quelques points qui se démarquent
Pour embrouiller les choses, beaucoup de symptômes entre les deux types de dépression sont similaires. Autant de signes qu’il ne s’agit pas de dépression classique. Toutefois rappelez-vous que *seul un médecin est habilité à établir un diagnostic de dépression, saisonnière ou pas.
dépression saisonnière | dépression classique |
trouble physiologique dû au manque de lumière | trouble d’origine psychologique |
trouble qui disparaît quasi instantanément si l’on part en voyage au soleil | trouble qui persiste même en voyage au soleil |
endormissement | insomnie |
augmentation de l’appétit | perte d’appétit |
prise de poids | perte de poids |
En conclusion
On est tous plus ou moins affectés par la baisse de luminosité, sans forcément en arriver à être dépressif.
Mais le plus important à retenir, est que la dépression saisonnière reste… saisonnière. Ce mal-être revient année après année, toujours à l’automne et disparaît au printemps. Il s’agit d’un trouble qui s’apparente plus à une déprime plus ou moins profonde, mais néanmoins passagère, ou encore à un coup de «blues» évoqué dans l’article ici.
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